
Pour nous, l’alliance du libéralisme et du souverainisme est le seul antidote aux élucubrations de la pensée progressiste libertaire.
Nous croyons au rôle complémentaire et indissoluble de la liberté et de la souveraineté dans l’édification de sociétés apaisées.
Sans le souverainisme, le libéralisme devient creux, superficiel, ignorant des siècles de connaissances et de culture qui l’ont précédé. Il s’égare dans le vide, nivelle par le bas quand il promettait la prospérité, ne sait plus faire preuve de courage et d’autorité quand il le faudrait.
Sans le libéralisme, le souverainisme devient buté, simpliste, facile à duper. Il se borne à un rôle purement défensif et a toujours un temps de retard sur des adversaires agiles, fluides, rusés.
Libéralisme et Souverainisme sont indispensables l’un à l’autre, contraires mais complémentaires, principe féminin pour le premier, masculin pour le second : le Tao de l’économie.
Léonidas et Thémistocle, Sparte et Athènes, le courage, la résistance et la dureté d’une part, la fluidité, la ruse, l’intelligence d’autre part : seule l’alliance des deux a permis de vaincre les barbares.
Notre doctrine souverainiste :
La Belgique sera concurrente quand c’est la règle, coopérative quand c’est possible, adversaire quand il le faut.
« Ni nostalgique, ni naïf : souverain et lucide »

