MDM accorde une importance primordiale à la justice sociale, économique, fiscale, environnementale, animale…
La justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l’égalité des droits et conçoit la nécessité d’une solidarité collective entre les personnes d’une société donnée.
La justice environnementale prône une défense équilibrée de l’environnement et de la biodiversité.
Mouvement Droite Moderniste est, au travers du « Justicialisme », assimilable à un populisme d’émancipation nationale, un mouvement citoyen anti-impérialisme capitalistique (par exemple les capitaux chinois qui rachètent des pans entiers de l’économie européenne, notamment les aéroports y compris en Belgique), et anti-collectivisme. Le Justicialisme est l’apanage d’un patriotisme heureux.
Nous n’avons pas peur d’être taxés de populistes : notre populisme est social; c’est un populisme d’émancipation pour les classes populaires et moyennes de notre pays.
Et nous envisageons le nationalisme comme un principe politique(et non une idéologie) tendant à légitimer l’existence d’un État-nation pour chaque peuple.
MDM s’adresse à la majorité des électeurs : ceux et celles qui ne se sont pas intégrés politiquement, c’est-à-dire qui ne se sentent pas représentés par les partis actuellement présents sur l’échiquier politique belge. Ceux et celles qui pensent que les institutions de l’État (telles que le Parlement et le Sénat) sont discréditées parce qu’elles ne représentent pas suffisamment la volonté du peuple.
La redistribution des richesses au moyen de la sécurité sociale fournit la base de notre légitimité en vue de réaliser nos objectifs qui sont la justice sociale, incessamment mise en avant, la défense de l’environnement et la poursuite de la croissance économique, conjuguées à un protectionnisme raisonné (barrières douanières pour les produits et services étrangers ne respectant pas nos normes sociales et environnementales). Ce protectionnisme raisonné et raisonnable est inspiré par les effets néfastes de la mondialisation et du libre-échange commercial débridés.
Nous avons besoin de croissance, par conséquent nous avons besoin du capitalisme (qui est par construction productiviste), parce que nous savons que la pérennisation des retraites, la hausse du pouvoir d’achat pour le plus grand nombre, la satisfaction des besoins sociaux et écologiques ne pourront se faire, à PIB constant, uniquement par la réduction des inégalités.
Nous comprenons que la réduction de la consommation d’énergie suppose de rompre avec l’austérité budgétaire pour réaliser les investissements nécessaires, mais également avec le libre-échange, son transport échevelé de marchandises et son dumping environnemental.
L’Écologie suppose de faire décroître les activités polluantes et les écologistes les plus virulents (les nouveaux prophètes de l’apocalypse) affirment qu’il faut aller au-delà et prôner une décroissance globale.
Mais, nous les « environnementalistes optimistes » du MDM pensons que miser sur la réduction de la croissance annihilerait le développement des pays les moins avancés. Ici même, en Europe, le soulèvement des « gilets jaunes » atteste l’étendue des besoins insatisfaits : fins de mois difficiles, mal-logement, santé, éducation, etc.
« Avec vous, pour une droite qui avance. »
