
Le MDM, intègre la défense de l’État-providence dans son programme en adoptant une approche « social-libérale » modernisée, axée sur une protection sociale forte mais adaptée aux défis contemporains.
Références à l’État-providence par le MDM
Le Mouvement Droite Moderniste (MDM) affirme déjà publiquement son attachement à l’État-providence et à la sécurité sociale, tout en promouvant un modèle social axé sur la responsabilité individuelle et l’équité.
Modernisation du concept
La ligne de fracture actuelle oppose l’État-providence traditionnel, basé sur des droits liés à l’emploi et une logique assurantielle, à des modèles plus universels (type Beveridge) ou proactifs (État social actif). Le MDM défend :
- La protection sociale entendue comme socle d’inclusion, de mobilité sociale, et d’emploi durable, tout en associant des exigences de responsabilisation et des dispositifs d’activation (formations, retour à l’emploi, etc.).
- La dissociation progressive des droits sociaux du seul statut professionnel, pour maintenir la solidarité même face à l’érosion de l’emploi stable.
Propositions concrètes
Le MDM articule la défense de l’État-providence autour :
- D’une réforme du financement : moins dépendant des cotisations sur l’emploi, augmentation de l’universalité des droits sociaux.
- Du renforcement de dispositifs d’activation et d’inclusion (formation, accompagnement, accès dématérialisé aux prestations).
- D’une gouvernance plus transparente et contractualisée avec les opérateurs sociaux, pour garantir l’efficience et la responsabilité partagée.
- D’un accent sur la mobilité sociale, la lutte contre l’exclusion et l’accès élargi aux soins, à l’éducation et au logement.
Positionnement politique
Ce choix programmatique place le MDM sur une ligne réformiste entre la défense du socle de solidarité du XXe siècle et l’innovation sociale adaptée à la précarité et à la mobilité du XXIe siècle, fidèle à l’identité d’un mouvement social-libéral contemporain.
« L’avenir a besoin de clarté, le MDM s’engage »

