« Le progrès sans reniement, la raison sans froideur »

Le Mouvement Droite Moderniste (MDM) se veut l’expression la plus aboutie du modernisme politique appliqué à la droite du XXIᵉ siècle.
Il naît d’un constat simple : la modernité n’appartient pas à un camp. Le progrès, la raison et l’innovation ne sont pas l’apanage d’une idéologie, mais les instruments d’une société libre, souveraine et juste.

Héritier du modernisme, mais pas son miroir

Le modernisme, historiquement, a voulu libérer l’homme de l’arbitraire et du dogme, en plaçant la raison, la science et la responsabilité individuelle au cœur du politique.
Mais à force de croire au progrès pour le progrès, beaucoup ont perdu le sens de la mesure, du sens, et de la mémoire.
C’est là que le MDM propose une voie nouvelle : celle d’un modernisme enraciné.

Le MDM reprend l’esprit du modernisme — confiance dans l’intelligence, la liberté, l’audace — tout en refusant ses dérives désincarnées. Il ne croit pas à un futur sans racines, ni à un passé figé dans la nostalgie.
Il croit à une modernité équilibrée, capable de conjuguer innovation et tradition, progrès et continuité, raison et transcendance.

Une modernité au service de la Nation et de l’humain

Le MDM fait du modernisme non pas une rupture, mais une renaissance.
Dans son projet politique, la modernité n’est plus synonyme d’effacement des identités, mais d’affirmation souveraine dans le monde global.
Elle n’est plus une course sans direction, mais une marche consciente vers un futur maîtrisé.

Ce modernisme-là :

• s’appuie sur la science et la technologie, mais pour servir la dignité humaine et l’intérêt collectif ;
• valorise l’économie du savoir, mais défend les métiers, les terres et les traditions qui font vivre la Nation ;
• soutient l’ouverture culturelle et numérique, mais exige la souveraineté intellectuelle et stratégique.

Une droite du XXIᵉ siècle

Le MDM incarne la synthèse entre la droite du sens et la droite du progrès.
Il réconcilie ce que d’autres ont trop longtemps opposé : la modernité et l’identité, la liberté et la solidarité, la technologie et la spiritualité.

C’est pourquoi le MDM se définit comme un modernisme intégral :

« Une pensée du progrès conscient, du progrès humain, du progrès souverain. »