Mouvement Droite Moderniste , en abrégé MDM, est un mouvement moderniste dans la mesure où il adhère à des idées ou à une philosophie qui valorisent la modernité, c’est-à-dire l’adhésion au changement, au progrès, à l’innovation, et à une vision tournée vers l’avenir plutôt que vers le passé ou la tradition.
Le modernisme, dans un sens large, est un courant qui s’oppose à l’immobilisme et au conservatisme, favorisant l’émancipation, la croissance et l’évolution sociale et politique. Appliqué à notre mouvement, cela signifie que MDM cherche à promouvoir des réformes, des idées nouvelles, et une adaptation aux réalités contemporaines, souvent en rupture avec des valeurs ou des structures considérées comme dépassées.
MDM est né pour promouvoir sur l’échiquier politique belge une droite innovante : assurément progressiste, positivement environnementaliste, volontairement réformatrice, effectivement pragmatique, résolument sociale, foncièrement animaliste, aimablement sybarite et sans conteste, fidèle au peuple belge.
Il s’agit d’un concept émergent qui vise à dépasser l’opposition traditionnelle entre conservatisme et libéralisme, en intégrant une volonté d’adaptation aux enjeux de la modernité tout en conservant certains repères de droite.
Caractéristiques principales
- Ouverture à la modernité : Contrairement à la droite conservatrice, qui cherche à préserver les traditions et à freiner les changements sociaux, la droite moderniste accepte et accompagne certaines évolutions sociétales (technologiques, économiques, voire morales) afin de rester en phase avec la société actuelle. MDM relie les valeurs de droite à la modernité.
- Pragmatisme économique : La droite moderniste prônée par MDM a une approche libérale sur le plan économique, mais elle y intègre des éléments de régulation ou de protectionnisme adaptés aux défis de la mondialisation, de la transition environnementaliste ou de la transformation numérique.
- Réforme sociale sélective : La droite moderniste se montre favorable à certaines réformes sociales (éducation, innovation, transition écologique), sans pour autant adhérer à l’égalitarisme radical. Elle privilégie le mérite, la responsabilité individuelle et l’ordre, tout en reconnaissant la nécessité d’adapter les institutions aux réalités du XXIe siècle.
- Refus du repli identitaire radical : La droite moderniste se distingue de la droite radicale ou extrême par son refus du rejet systématique de l’autre et son attachement à une forme de pluralisme, même si elle reste attachée à l’identité nationale et à certains repères culturels de la tradition judéo-chrétienne.
- Recherche d’un nouvel équilibre : La droite moderniste tente de concilier l’héritage de la droite (ordre, mérite, responsabilité) avec une volonté d’innovation et d’adaptation, se positionnant ainsi comme une alternative à la fois à la droite conservatrice et à la droite radicale.
- Patriotisme civique : protection des intérêts belges, sans populisme.
« Socialiser la droite, rassembler les Belges«
