Nous sommes convaincus que la protection animale peut engendrer des économies publiques et améliorer la gestion des fonds publics.
Voici nos principaux arguments et mesures concrètes :
Réduction des coûts liés à la santé publique
Une meilleure protection animale, notamment par la réduction de l’élevage intensif et la promotion d’une alimentation végétale, peut contribuer à améliorer la santé humaine en diminuant les maladies liées à la consommation excessive de viande (maladies cardiovasculaires, cancers, diabète). Cela peut réduire les dépenses de santé publique à long terme.
Moins de coûts liés à la gestion des nuisances et des accidents
La maltraitance ou négligence animale génèrent des nuisances (pollution, nuisibles, accidents) qui engendrent des dépenses publiques. Améliorer le bien-être des animaux domestiques et sauvages réduit ces coûts indirects pour les services publics locaux et nationaux.
Diminution des coûts liés aux abattoirs et contrôles sanitaires
Un meilleur encadrement des pratiques d’élevage et d’abattage, avec des normes plus strictes et des méthodes éthiques, permet d’éviter des contaminations, maladies et problèmes sanitaires coûteux. Des inspections plus efficaces réduisent les risques de crises sanitaires.
Soutien aux refuges et accompagnement social
Le financement ciblé pour les refuges et soins vétérinaires permet de prévenir la prolifération d’animaux errants et maltraités qui engendrent des coûts publics importants (capture, stérilisation, euthanasie). Cela s’accompagne d’une meilleure intégration sociale et santé animale.
Promotion d’une économie verte et durable
Investir dans des alternatives agricoles respectueuses du bien-être animal favorise une économie plus durable et résilience face aux crises, avec des impacts positifs sur l’emploi local et les dépenses publiques liées à la gestion environnementale.
Ainsi, associer protection animale et réduction des dépenses publiques revient à démontrer que le bien-être animal engendre des économies réelles en santé, gestion urbaine, sécurité sanitaire, et développement durable, tout en étant socialement responsable.
