La doctrine social-libérale du MDM met l’accent sur la valorisation du travail, la réduction de la fiscalité sur les revenus du travail, une solidarité efficace, et la responsabilisation des acteurs économiques.
- Réduction de la pression fiscale sur le travail
Par exemple, le Mouvement Droite Moderniste (MDM) propose de supprimer la tranche de taxation de 50% sur les revenus élevés et de plafonner la taxation maximale à 45%, avec un barème fiscal révisé pour redonner du pouvoir d’achat aux travailleurs. - Soutien à l’entrepreneuriat et au statut des indépendants
Nous valorisons les indépendants comme moteurs de l’économie locale, avec des mesures pour clarifier, simplifier et renforcer leur statut social et fiscal. - Travail et responsabilité collective
Le social-libéralisme du MDM insiste aussi sur le besoin de remettre le travail au cœur de la société, en valorisant l’effort et le mérite, mais avec une solidarité efficace par la simplification et la modernisation des aides sociales. Il s’agit d’un appel clair à la responsabilité réciproque entre travailleurs, entreprises et société. - Liberté et responsabilité, au service d’une Belgique moderne et européenne
Nous insistons sur la liberté individuelle associée à la responsabilité, un État laïc, la démocratie par référendum, et des politiques fiscales favorables aux PME, tout en nous positionnant clairement pour une Europe forte.
Les messages concrets de notre social-libéralisme trouvent un écho chez les électeurs belges en cherchant un équilibre entre liberté économique, justice sociale, et efficacité publique dans un contexte où la question du pouvoir d’achat, de l’emploi et de la compétitivité est centrale.
Et pour prouver l’impact social-libéral sur le pouvoir d’achat, nous nous engageons à mesurer régulièrement plusieurs indicateurs précis, car le pouvoir d’achat résulte de la dynamique entre revenus et prix, ainsi que de la perception que les ménages en ont.
Principaux indicateurs que nous mesurerons
- Évolution du revenu disponible réel des ménages
C’est un indicateur clé qui montre comment les revenus ajustés de l’inflation évoluent, incluant salaires, allocations, prestations sociales, après impôts et cotisations sociales. Il reflète directement la capacité financière des ménages à consommer. - Taux d’inflation ajusté au panier de consommation réel
Mesurer l’inflation sur un panier de biens et services représentatif de la population ciblée, notamment en ajustant pour les variations du coût de la vie et de la qualité. Cela permet d’évaluer la « dérive des prix » sur les biens essentiels et contraintes. - Évolution du coût des biens et services essentiels
Focus particulier sur les dépenses contraintes telles que logement, énergie, alimentation, santé, transport, qui impactent fortement le ressenti du pouvoir d’achat. - Taux et évolution du chômage et de l’emploi stable
Amélioration de la situation de l’emploi, qualité des contrats de travail, et possibilités d’heures supplémentaires rémunérées participent à l’amélioration du pouvoir d’achat. - Volume et répartition des heures supplémentaires et primes
Ces revenus supplémentaires peuvent substantiellement augmenter le revenu disponible individuel et donc le pouvoir d’achat. - Perception subjective du pouvoir d’achat par les ménages
Les enquêtes d’opinion permettent de mesurer si la population ressent une amélioration effective, ce qui peut diverger de certains indicateurs statistiques. - Évaluation des aides sociales et fiscales spécifiques
L’impact des mesures de solidarité sociale, crédit d’impôt, réductions fiscales sur certains groupes (familles, indépendants), permettant de mesurer une efficacité sociale directe.
Ces indicateurs permettront de démontrer l’effet combiné des politiques social-libérales sur le pouvoir d’achat, en évaluant à la fois les données économiques objectives et le ressenti des bénéficiaires. Ils doivent être suivis régulièrement pour ajuster les politiques publiques au plus près des réalités.
