
Nos futures actions publiques impliquent :
- Reconnaissance juridique et représentation politique des animaux : Inscrire légalement les animaux comme des êtres sensibles avec des droits, et instaurer une représentation politique spécifique des intérêts animaux dans les institutions publiques. Cela renforce la légitimité morale et juridique du MDM.
- Amélioration concrète du bien-être animal : Mettre en place des mesures fortes contre la maltraitance animale, réguler strictement les conditions d’élevage et d’abattage, interdire les pratiques violentes et cruelles (chasse, combats de chiens ou de coqs, élevage intensif), et assurer la promotion de modes de vie respectueux des animaux.
- Végétalisation progressive des politiques alimentaires publiques : Encourager une alimentation végétarienne ou végétalienne, notamment dans les cantines scolaires, administrations et hôpitaux, pour réduire l’exploitation animale et améliorer la santé publique, autour du concept « Une seule santé » qui lie santé humaine, animale et environnementale.
- Soutien aux alternatives éthiques : Investir dans la recherche et le développement d’alternatives à l’exploitation animale, comme les protéines végétales, la viande cultivée en laboratoire, et les pratiques agricoles durables et biologiques.
- Protection des écosystèmes et lutte contre la destruction des habitats : Allier animalisme et écosophie (environnementalisme optimiste) en intégrant la protection des habitats naturels, la reforestation, et la lutte contre l’écocide, dans un programme de santé globale et de protection de la biodiversité.
- Soutien aux associations et lanceurs d’alerte : Assurer un financement et une protection juridique aux associations de défense animale et aux lanceurs d’alerte qui dévoilent les maltraitances ou pratiques illégales.
- Éducation et sensibilisation : Intégrer dans les programmes scolaires une éducation au respect des animaux, à l’éthique environnementale, et promouvoir le véganisme pour les futures générations. (Attention ! Promouvoir le véganisme ne signifie pas critiquer les carnivores !)
Ces politiques forment un ensemble cohérent qui allie mesures concrètes, vision à long terme, et transversalité (santé, environnement, social) pour faire de l’animalisme un programme électoral crédible et mobilisateur.

