La droite qui innove, la Belgique qui avance

Définition neutre et fidèle de la ‘droite populaire »


La droite populaire désigne un courant politique de la droite qui met l’accent sur la défense des classes moyennes et populaires, en valorisant des thèmes comme la sécurité, l’ordre, l’autorité de l’État, la promotion du mérite, la justice sociale et la préservation de l’identité nationale.

Elle se veut attentive aux préoccupations concrètes du quotidien (emploi, pouvoir d’achat, accès aux services publics) et cherche à offrir des réponses pragmatiques aux défis rencontrés par les Belges issus de milieux modestes ou des territoires périurbains et ruraux.

La droite populaire se distingue par :

  • Son attachement à la souveraineté nationale et à la maîtrise des frontières.
  • Sa volonté de renforcer l’égalité des chances par l’école, le travail et la sécurité.
  • Un discours de proximité avec les réalités vécues par les citoyens, en particulier ceux qui se sentent parfois oubliés par les élites ou les grandes métropoles.
  • La valorisation du travail, de l’effort et de la responsabilité individuelle.
  • Une approche pragmatique des questions économiques et sociales, cherchant à conjuguer efficacité et justice.

Ce courant s’inscrit dans la tradition démocratique belge et valorise l’unité nationale, tout en étant attentif à la cohésion sociale et à la lutte contre les fractures territoriales ou sociales.

En somme:
La droite populaire est une droite qui se veut proche du peuple, attachée à la sécurité, à la justice sociale, à la souveraineté et à la valorisation du travail, sans pour autant verser dans l’extrémisme ou la stigmatisation.

La droite moderniste est une droite social-libérale populaire. Ce qui, si l’on s’en tient aux définitions, désigne une droite qui combine héritage libéral, sensibilité sociale et un ancrage populaire.

Le MDM occupe une place laissée vacante par le MR, qui s’est progressivement éloigné de cette synthèse et se distingue désormais par une orientation nettement plus libérale que sociale, s’affichant davantage comme un parti de réforme et de classes moyennes supérieures que comme une formation « populaire » au sens social du terme. L’aile « social-libérale » a  disparu du MR, laissant place à une direction qui revendique « le parti le plus à droite du pays sur l’axe économique » entre 2019 et 2024.

« MDM : Fier d’être social-libéral ! »


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