La droite qui innove, la Belgique qui avance

Nouvelle ingénierie


Grâce à notre révolution fiscale, nous allons réussir la « quadrature du cercle » : taxer sans appauvrir !

Nous allons proposer une nouvelle ingénierie fiscale (simplification drastique et application de principes très simples) concernant non seulement nos entreprises nationales de toutes tailles mais aussi les multinationales. Nouvelle façon d’appliquer l’impôt (non plus sur le résultat net mais sur le chiffre d’affaires…) : nouvelle façon de définir la capacité contributive de chacun (riche ou pauvre), tout le monde paiera l’impôt y compris les plus pauvres (mais ce sera un montant symbolique pour les plus pauvres), nouvelle façon de définir le patrimoine (l’impôt doit s’appliquer sur le patrimoine net et non plus sur les revenus)

Postulats :

  • Imposer les hauts revenus n’est pas un frein à l’activité et ne provoque pas automatiquement l’exil fiscal des riches.(*)
  • Au contraire, les recettes budgétaires engrangées peuvent être utilisées pour généraliser l’accès au revenu d’émancipation (**)

(*) Aux États-Unis, des années 1930 à 1980, le taux marginal d’impôt sur le revenu culminait à 70%-90% pour les plus aisés. Or la croissance était bien plus forte qu’aujourd’hui. Dans les années 1950 et 1960, les États-Unis affichaient le salaire minimum national le plus élevé du monde.

(**) Définition de notre concept de revenu universel de base dans un prochain texte.

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