La droite qui innove, la Belgique qui avance

Économie


Oui. Le programme économique du Mouvement Droite Moderniste (MDM) se démarque nettement au sein du paysage politique belge par son approche pragmatique, désidéologisée et orientée vers la performance mesurable plutôt que le discours doctrinaire.

Une économie de l’efficacité sociale

Le MDM défend une vision dite « moderniste » de l’économie fondée sur la combinaison d’un libéralisme pragmatique et d’une responsabilité civique. Au lieu d’opposer État et marché, il cherche à évaluer les politiques économiques selon leur efficacité concrète à répondre à des besoins collectifs : emploi durable, cohésion territoriale, innovation utile.


Ce principe distingue le mouvement des partis libéraux classiques comme le MR, centrés sur l’allègement fiscal et la maximisation du pouvoir d’achat individuel, et des partis de gauche, focalisés sur la redistribution.

Trois axes originaux

  • Réévaluation des politiques publiques selon le rendement socio-économique
    Chaque mesure budgétaire ou de relance devrait être mesurée selon sa contribution au progrès social réel, non pas selon un cadre idéologique préétabli. Cela vise à « dépolluer » le débat économique des dogmatismes du néolibéralisme ou du socialisme.
  • Priorité aux transitions énergétiques, environnementales et numériques productives
    Le MDM ne reprend pas les discours écologistes classiques : il parle d’« écosophie » au service d’une prospérité joyeuse, empirique et non culpabilisante. Les investissements publics doivent viser la transition industrielle, technologique et énergétique avec des retombées locales, notamment pour la jeunesse et les PME.
  • Réconciliation entre innovation et enracinement
    Le MDM cherche un modèle d’« économie enracinée » conciliant liberté d’entreprendre, identité culturelle et souveraineté économique. Là où le MR valorise la compétitivité et DéFI l’équité inclusive, le MDM introduit une dimension de sens et de finalité civique à la croissance.

Différences avec les autres partis

En comparaison :

  • Le MR reste attaché à la logique de marché et à la baisse des impôts comme moteur de croissance.
  • Le PS mise sur le renforcement des filets sociaux et des dépenses publiques.
  • Les Engagés mettent l’accent sur la participation et la mutualisation communautaire.
  • Écolo conçoit l’économie par la contrainte environnementale et la réduction de consommation.

Face à eux, le MDM se singularise par une orientation post-idéologique, voulant créer un État stratège évaluateur plutôt qu’intervenant, et par la notion d’humanisme du réel, qui place la prospérité au service de la dignité individuelle et collective.

En synthèse

Ainsi, le programme économique du MDM confère au parti une originalité forte : il renverse la hiérarchie habituelle entre idéologie et efficacité, et propose une économie humaniste, volontariste et mesurable. Ce positionnement inédit ancre le mouvement comme la droite la plus empiriquement réformatrice du champ politique belge.

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