MDM (Mouvement Droite Moderniste) constate :

• l’homogénéisation idéologique de la gauche ainsi que celle de la droite. Dès lors nous dénonçons les oppositions factices entre les principaux pôles de la vie politique qui renvoient à la perception de partis de gouvernement, parlant de moins en moins à leurs électorats.
• que notre vie publique reste marquée par le sectarisme et l’excommunication, à droite comme à gauche, alors qu’ils n’ont plus d’objet. Les évolutions récentes, l’alternance, plus généralement la montée de la valeur de tolérance les ont rendu obsolètes et insupportables. Nombreux sont ceux  à qui ce style militant et vindicatif répugne profondément et qui aspirent à une culture politique davantage pacifiée et constructive.
• que le désamour des Belges à l’égard des élus, leur retrait civique et la progression du vote pour des formations non gouvernementales n’est pas structurel. Sa raison ne se trouve pas dans le rapport des Belges à la démocratie, mais dans le rapport des élus à leur fonction, dans leur démission face aux autres pouvoirs et, en particulier, le pouvoir économique, dans un contexte où le capitalisme passe du règne du manager à celui de l’actionnaire.

« Entre immobilisme et excès, MDM trace la voie moderne. »