Formes nouvelles de participation citoyenne
- Des dispositifs participatifs comme les panels citoyens, les assemblées délibératives ou les consultations numériques (G1000, plateformes participatives locales) permettent aux citoyens de co-construire une partie des politiques publiques en amont, et non seulement de les ratifier par le vote classique.
- La possibilité pour les citoyens d’initier des pétitions « législatives » ou des propositions référendaires contraignantes, obligeant le parlement à examiner et débattre ces initiatives, favorise l’expression directe et le dialogue.
- L’intégration d’outils numériques dans les processus délibératifs (applications comme Itsme, forums modérés, consultations interactives) facilite un accès inclusif et augmente le taux d’implication, notamment auprès des jeunes et des publics éloignés.
Innovations en matière de représentation
- Le MDM propose de nouvelles formes de représentation fondées sur la diversité et la pluralité des compétences citoyennes, par exemple la cooptation de citoyens tirés au sort dans certaines commissions parlementaires ou consultatives, rompant avec la logique strictement partisane.
- Adapter le modèle représentatif pour garantir l’inclusion des minorités et groupes spécifiques : quotas pour jeunes, usagers, professionnels, ou représentation territoriale renforcée pour les zones défavorisées ou les périphéries institutionnelles comme Bruxelles.
- Encourager la transparence des processus décisionnels par des auditions publiques, des rapports participatifs, et des mécanismes clairs de « redevabilité » pour les élus.
L’expérience belge du G1000 a montré que des processus ascendants impulsés par les citoyens – et non par les partis – engendrent engagement et débat constructif, même s’ils n’ont pas toujours d’effet législatif immédiat.
Une participation accrue en amont, lors de l’élaboration des politiques, permet de diminuer les oppositions ultérieures et de faire évoluer le citoyen du rôle de figurant à celui de protagoniste.
Notre parti moderniste valorise une méthodologie inclusive : panels mixtes, participation de citoyens singuliers et non uniquement comme porte-voix de l’intérêt général, extension des débats à l’économie sociale et aux usagers des services publics.
En intégrant ces dispositifs et outils innovants de participation et de représentation, le MDM propose un programme véritablement moderniste, où chaque citoyen a « son mot à dire » au-delà du seul acte électoral, dans une démocratie renforcée et adaptée aux mutations institutionnelles du pays.
« Une démocratie vivante pour une Belgique confiante »
