La droite qui innove, la Belgique qui avance

Plaidons pour un projet de loi visant les entités recevant des fonds étrangers


Souhaitons lancer une pétition pour créer un registre des organisations menaçant la souveraineté de la Belgique.

A part, le MDM, quel autre parti politique belge aura le courage de présenter une proposition de loi visant à mettre en place un registre des organisations menaçant la souveraineté de la Belgique avec l’aide de l’étranger ?

Le texte du projet de loi visera de façon large toute personne morale et entité sans personnalité juridique qui menace la souveraineté de la Belgique en menant des activités visant à influencer la vie publique.

En Belgique, la presque totalité des ONG et des ASBL reçoivent des fonds publics mais aussi des fonds européens, des donations d’institutions internationales ou du soutien de citoyens belges (notamment ceux à double nationalité) résidant à l’étranger.

Des millions de dollars et d’euros, provenant principalement d’entités américaines, d’entités moyen-orientales (Arabie saoudite, Qatar, Émirats Arabes Unis…) et d’entités bruxelloises (Commission européenne…), ont été acheminés vers des groupes de la société civile et des médias dans le but de manipuler le sentiment des électeurs en fonction d’intérêts extérieurs.

Concrètement, il faudra créer ad hoc une « Autorité pour la protection de la souveraineté », une institution publique qui produira des rapports objectifs sur les organisations touchant des subventions étrangères.

Toute entité placée sur cette liste devra demander l’autorisation des autorités pour pouvoir recevoir un virement émis depuis l’étranger.

Les personnes effectuant un don à ces entités opaques n’auront plus le droit de profiter d’une déduction fiscale.

Enfin, l’ensemble des cadres dirigeants de ces organisations devront remplir des déclarations de patrimoine similaires à celles des élus, et qui seront ensuite rendues publiques.

Tout comme les partis politiques sont interdits de recevoir des fonds étrangers en vertu des règles de l’UE, les acteurs non partisans devraient aussi faire l’objet d’un examen minutieux lorsque leurs activités ont une incidence sur la prise de décision publique.

Ajoutons aux politiques européennes de lutte contre l’ingérence russe, des politiques similaires de lutte mais cette fois-ci contre l’ingérence trop patente des Frères musulmans en Belgique


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Verified by MonsterInsights