
Mouvement Droite Moderniste conçoit un programme « Enseignement » original en s’inspirant de principes d’innovation, de libéralisme social et de valorisation des talents, tout en proposant une articulation spécifique entre excellence, inclusion et préparation à l’économie numérique.
Axes programmatiques modernistes
- Mettre l’accent sur l’individualisation des parcours, avec des modules d’orientation, du mentorat professionnel, et la valorisation de l’autonomie dès le secondaire.
- Réformer le tronc commun pour le rendre plus flexible, axé sur les compétences numériques, esprit critique, entrepreneuriat et apprentissages immersifs en langues.
- Encourager une ouverture vers l’apprentissage mixte (présentiel/distanciel), développer des partenariats avec des entreprises innovantes pour des stages ou projets concrets dès le secondaire.
Différenciation idéologique par rapport aux programmes classiques
- Prôner une école inclusive mais exigeante : valoriser l’effort personnel, récompenser le travail, tout en assurant l’égalité d’accès via la lutte contre l’assistanat scolaire et la sur administration.
- Développer la reconnaissance des talents techniques, entrepreneuriaux et artistiques, en « cassant » la survalorisation du cursus traditionnel généraliste.
- Mettre en place des solutions pragmatiques pour lutter contre le décrochage scolaire via tutorat, innovation pédagogique et intégration numérique, adaptés aux réalités locales.
Priorités modernistes spécifiques
- Valorisation de la méritocratie et du « goût de faire », en récompensant les initiatives, mini-entreprises étudiantes, projets interdisciplinaires et engagement civique.
- Renforcement de l’enseignement des langues, du numérique et de la culture générale européenne, pour former des citoyens bilingues et connectés.
- Liaison forte avec le tissu économique local : promotion des écoles « à projet » et des incubateurs éducatifs en partenariat avec PME, startups ou laboratoires.
Sécurité et neutralité
- Insister sur la neutralité laïque, l’esprit critique et la lutte contre toute forme de radicalisation ou de fragmentation scolaire.
- Proposer une gouvernance locale renforcée : autonomie de projets éducatifs, possibilité d’expérimentation, évaluation quantitative ouverte à la société civile.
Ce programme, à la fois original et porteur, s’appuiera sur une synergie entre innovation pédagogique, méritocratie ouverte, et alliances économiques, en marquant un net contraste avec la défense d’un système figé ou l’instrumentalisation idéologique de l’école.

